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Le Clan McNicoll

De la brume des Highlands aux terres de l'Estrie, le clan McNicoll tisse un nouveau chapitre, en semant ses racines, fidèles à notre héritage et bâtissant un avenir pour les générations à venir.  Aujourd’hui, Martin McNicoll s'est fixé la mission de créer le meilleur whisky au monde loin de la terre de ses ancêtres écossais, dans le canton de Potton au Québec.

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Ils sont braves, intrépides, accoutumés au climat rigoureux et une petite perte s’ils devaient y laisser leurs vies.
Pourquoi ne pas se servir de ces papistes à bon escient? »

- Lettre de James Wolfe à son ami, le capitaine William Ricksen, en 1751.

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C’est la suggestion que James Wolfe a faite à son état-major en 1755. Créer un régiment composé de jeunes Écossais, désœuvrés, affamés, sans avenir et n’ayant aucune expérience du combat, car les Écossais étaient désarmés depuis la défaite de Culloden, en 1746.

 

Le premier juillet 1757, ils sont plus d’un millier d’hommes et de femmes sur le quai de Cork, en Irlande, espérant être choisi. Mais pourquoi s’acoquiner avec l’ennemi héréditaire? Tout simplement pour gagner quelque sous, avoir deux repas pas jour et une promesse d’obtenir un lopin de terre s’ils sont victorieux. Ils n’y avaient plus aucun avenir pour  eux en Écosse.

 

D’un autre côté, ils étaient fiers d’être dirigés par des officiers qui parlent leur langue, le herse. De plus, ils obtiennent le droit de porter le kilt, d’entendre à nouveau la cornemuse et de posséder des armes.

 

James Wolfe avait autorisé trois femmes par compagnies de 80 soldats. Une loterie fut organisée et mes ancêtres Duncan et Catherine McNicol ont eu leurs billets pour se joindre à ce nouveau régiment, le 78th Fraser’s Highlanders. Les autres épouses sont demeurées sur le quai en regardant leur époux voguer vers une destination inconnue.
 

De la chair à canon, oui c’est ce que l’amirauté britannique avait en tête, cependant c’était sans compter sur la ténacité, la pugnacité, la résilience et surtout toutes ces qualités intrinsèques qui ont même apeuré les troupes romaines d’Adrien. Le 78th régiment des Fraser’s Highlanders est devenu le fer de lance des troupes britanniques et s’est mérité les éloges des autorités.
 

Ils ont combattu à Louisbourg, Québec, Sainte-Foy, ils ont été cantonnés à Saint-Pierre-de-la-Rivière-du-Sud et à Deschambault. À la fin du conflit en 1763, mes ancêtres avaient quatre enfants qu’ils avaient trimballés du Fort Stanwick dans l’État de New York à Deschambault.

Libérés de leurs engagements, ils ont suivi le colonel John Nairne vers une nouvelle destination et un nouvel environnement: La Malbaie. De nouveau, ils se sont adaptés aux us et coutumes locales, à une nouvelle langue, une nouvelle religion et surtout un climat beaucoup plus hostile que celui des Highlands.

Mes ancêtres ont donné vie à une descendance multiple de cultivateurs, seigneur de Murray Bay, maître de chasse au marsouin et de nouveaux et intrépides pionniers qui ont pris la route d’un nouveau royaume, celui du Saguenay.

Dans le sang de Martin McNicoll coule toutes ces qualités que ses ancêtres lui ont léguées et c’est avec la même résilience et ténacité qu’il veut rendre hommage à ses ancêtres par la création de ce whisky aux accents écossais.
 

Guy McNicoll

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